( et oui je recommence encore, mais la c'est pour mettre plus de détails ^^ )

Arvalis attendais, espérant que sa mère daigne bien lui accorder un peu de son temps. Elle savait qu'elle devait partir dans une école spécialisée pour finir sa formation de future femelle dominante. Qu' elle devrait quitter ses amis, sa famille. Mais d'un certain coté, elle s'en fichait. Si elle partait elle serait peut être libre, libre de ne plus voir sa mère et de ne plus plus subir son terrible courroux...

Sa mère l'appela a elle. Arvalis toqua trois fois et entra, inclinée bien bas, comme il convenait de faire pour s'adresser a un noble.

" mère, je voudrais vous demander la date, le lieu et l'heure de ma destination..."

sa voix était enfantine et sonnait faux, même pour elle. Sa mère vit clair dans son jeu et d'un petit sourire, désigna de la tête une plante ensevelie parmi d'autres. Arvalis s'approcha du trône et se mis a genoux, elle commença a la débroussaillée tous en parlant a sa mère. Renonçant a lui cacher sa demande peu orthodoxe

" je voudrais la permission pour amener Libeccio, l'épée chat de mon père. Feu Rana Ouaouaron devenue mienne par héritage."


" Si tu estime que tu peut t'en servir, et bien soit. Amène la. Mais souvient toi que tu ne peut l'utiliser qu'en sport."

Après un long silence elle ajouta :

" Maintenant, tu dois partir, il ne peut y avoir deux femelles dominantes au sein de se clan "

L'enfant leva la tête de son ouvrage pour contempler sa reine :

La mère d' Arvalis avait le physique d'une femme ayant la vingtaine, mais avait en fait la quarantaine. Elle des cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules nues. Habillée d'une robe au motifs naturels. Une tenue qui ressemblait un peu a celle de sa fille ,qui, comme sa mère était largement plus vielle que son physique semblait déclarer habillée d'une robe marron et verte, elle portait une cape blanche qui tombait sur ses épaules. Un chapeau rouge parsemé de points blanc lui servait de couvre chef. Elle avait a peu près la taille et le poids d'une enfant de douze ans. Mais Arvalis en avait seize. Leurs visages ne se ressemblaient que par la couleur de leurs cheveux, noir de jais

Elle ne releva pas les paroles de sa mère. Elle se retourna juste, et sans prononcer un mot, quitta le domicile familial. Sa cape d'une blancheur éclatante voletant derrière elle. La femme, fut t' elle magnifique, se rendait laide par la grimace qu'elle ajouta dans ses paroles :

" soit prudente ! "

La petite lui tira la langue et courues vers ses appartements...

Quelques semaines plus tard, Arvalis arriva dans cet endroit. Msm. Une école pour elle. Pour les gents comme elle. Son mauvais sens de l'orientation l'avait de nombreuse fois fait perdre son chemin. Et même dans l' espace extérieur de cet école elle ne savait ou aller. Il y avait des arbres a pertes de vue... Elle tenta de se diriger vers la salle d' attente. Mais se perdue en route, l'école était tellement grande. Elle demanda de nombreuse fois son chemin mais a chaque fois, les avis divergeaient. Quand enfin elle trouva la porte elle souffla un bon coup et récita son texte mentalement :


<< je suis Arvalis, une elfe primitive. Une créature magique qui peut prendre la forme d'un animal au préalablement choisie. Sous cette forme je bénéficie des attributs de l'animal, mais je perd quelque chose pendant la transformation. En outre ma notion du temps et mon odorat. >>

Elle poussa la porte, l'endroit était accueillant, a sa façon. Bourré de plantes, de fenêtre et de magasine. Normal mais super relaxant. Le stress d' Arvalis baissa d'un cran. Elle s' asseilla dans un fauteuil rembourré comme il le fallait et ferma les yeux. Elle avait tentée d'entrée en ourse mais avait été contrainte de retrouver forme humaine. Sinon elle aurait été contrainte de restée debout

[Et bien ma foie ça s’annonce plutôt pas mal ^^ ]


Venant à peine de sortir de la salle des profs, notre jeune enseignant se sentait guilleret. La pile de copie à corriger était enfin finie et le soleil était radieux. Son bocal à la main, il déposa un regard vers son poisson rouge.

« Et si on poussait la chansonnette ? »

Un petit sourire et le voilà partie dans l’une des comptines d’enfant humain des plus connu.
Laissant raisonner le son de sa voie dans les couloirs, il avançait calmement, dansant moitié par moment. Et sur une dernière valse, il fit la révérence. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il se trouvait devant une jeune fille assise qui semblait attendre quelque chose.
Notre jeune homme se redressa et s’adressa, comme à l’habitude à son poisson.

« Mon dieu, tu danses toujours aussi bien Maurice ! Et encore une fois, tu me fais tournée la tête ! Mon manège à moi c’est…toi. »

Il venait tout juste de se rendre compte de la situation, et la pauvre jeune fille avait pu assister à une petite partit de la danse et certainement…de cette nouvelle, enfin ancienne chanson…
Se raclant la gorge, il s’adressa à elle légèrement gêner.

« Ho ! Veuillez m’excusez mais ces voluptés verbales sont tellement….sublimes ! Et je ne pouvais m’empêcher de les chanter, de les danser…enfin…J’espère ne pas vous avoir fait peur. Mais dites moi, vous attendez quelqu’un peut-être ? »

Il observait gentiment la jeune fille, remuant l’eau de son poisson de la main gauche attendant sa réponse.

Le professeur qui s'adressait a elle était comique. C' était le moins que l'on pouvait dire. Il avait chanté une chanson q' Arvalis ne connaissait pas mais qui lui plaisait, un peu. Elle lui inspirait un dessin. Oberon sur un manège en forme de dragon. L' idée était plaisante. Mais bientôt le professeur lui posa une question. Si il lui avait fait peur. Non bien sur que non, comment le pourrais t' il ?
Il était drôle, pas effrayant...


" Non. "
Murmura t' elle d'une voix faiblarde.

Elle enleva son sac a dos a ce moment, sortant une adorable peluche ours noire et un cahier a dessin aussi grand et gros que le sac a dos lui même. Se mettant en tailleurs sur le sol elle ajouta, un peu plus confiante :

" Mon dossier a dus arriver il y a quelques jours, ou quelques semaines. Ca dépend, nous sommes le combien ?Je crois que je me suis perdue en chemin "

Arvalis pris un crayon 4H et commença a dessiner...

Ce n'étais pas très poli de sa part de s' adresser ainsi a un professeur et Arvalis s' en voulus tous de suite. Elle ne releva pourtant pas les yeux de son dessin et se promis de lui offrir si il ne prenait pas mal sa façon de parler. Son éducation stricte voulait que si il se sentait offusquer elle devrait s'incliner . Enfin, de toute façon elle devrait s'incliner. Avant d'entré dans une pièce par respect pour le professeur; Après pour lui monter sa gratitude. Pendant si il lui adressait la parole. Aussi guettait telle une éventuelle réaction pouvant l'inciter a continuer

Le poisson pouvait bien attraper le tournis, notre jeune homme était plutôt intéresser par cette élève. Son comportement étrange l’intriguait. Et puis, pour une fois, il ne semblait pas faire peur. A moins qu’elle dise sa par gentillesse et respect. Après avoir entendu quelque bulle criant « Arrête sa ! Blup ! Tu me donnes le mal de mer ! », L’enseignant réagis et s’exclama apeuré.

« Maurice !!! Je suis navré. »

Continuant inlassablement à tourner par le mouvement d’eau, le dénommé Maurice émis…une toute petite bulle.

« Bon, tu me rassure. »

Hum…Quelle étrange sensation parcouru notre professeur en herbe. Une sorte de doute sur…de la paperasse…Bizarre…Le destin l’aurait-il menez à cet enfant pour lui faire comprendre quelque chose ?

A cet instant, il écarquilla les yeux.

« Non de Zeus ! J’ai failli oublier ! Les entretiens !...Heu…On est le 28 pourquoi ?»

A croire que l’éclair de Zeus venait encore de frapper !

« Hey ! Mais tu serais pas la petite…rho comment c’est son nom là ! Aide moi toi aussi Maurice au lieu de barbotter ! Tu sais, j’avais son dossier y’a 3-4 jours ! En plus…elle m’a fait attendre pour rien puisqu’elle est pas venue…Et puis, sa à retarder mon bain…J’était tout triste… »

Il venait de s’adosser sur le mur et cherchait intensément.

« C’est pas commun comme prénom en plus… »

Arvalis rigola intérieurement. Oui, elle allait dessiner un dragon aquatique, un dragon a l'image de cet étrange professeur. Elle aurait fini bientôt, il lui restait les détails. Rien de bien important...
Puis soudain elle se figea, le 28 ? déjà ?
C'était t' elle perdue a ce point ?
Elle fit tomber son crayon, perdant toute assurance et tremblant comme une feuille.
Arvalis sentit alors un énorme poids sur ses épaules, elle n'était qu'un fardeau... les elfes primitifs étaient des être en totale communion avec la nature. Ils connaissaient les forets par cœur et n'avaient aucun mal a se diriger normalement. Normalement. Arvalis n'avait aucun sens de l'orientation, elle était partit de chez elle bien avant ces 3- 4 jours annoncer par le professeur. Sa mère avait donc tous anticipée... ce qui la terrifiait. Elle n'était qu'un déchet. Elle avait fait du tord a un professeur, elle l'avait importuné !
Sa mère le savait et donc, n'avait envoyer le dossier pré- remplis que tardivement. Arvalis ne respirait plus, ne bougeait plus. Toujours assise en tailleurs sur le marbre du sol elle n'arrivait pas a soutenir le regard de son professeur. Intimidée.


«  ressaisit toi ! »
hurla une voix en elle, la voix de sa conscience.
Elle murmura alors, reprenant un peu confiance …

Je suis Rana Arvalis

Respirant un peu elle ajouta

Je suis une elfe primitive. Vous devez bien nous connaître vus que chaque génération de notre royauté vient ici s'instruire

[Alors excuse moi de mon retard-absence, j'ai eu une semaine bien remplie....Par contre, il serait bien que tu retire ton petit post. Évite de double poster comme tu l'as fait s.t.p.]


Continuant à marmonner et ruminer des nom et prénom en tout genre, ce n'est que lorsqu'il entendit « Rana Arvalis » qu'il leva le doit en l'air.

« Mais oui, c'est sa!!! Rana Arvalis! Heureux de vous voir enfin! »

Il s'approcha d'elle, s'accroupit et repris.

« Et bien pour ce qui est de votre famille, personnellement je n'y connait pas grand chose puisque je suis nouveau dans l'établissement. Mais maintenant que vous êtes là, on va faire votre entretiens! »

Il disait cela d'une façon bien souriante, l'idée lui plaisait à vrai dire. Mais une chose posait problème...

« On va allez dans mon....bureau....à mais oui...en fait, je crains que nous allions emprunter le bureau d'un autre car voyez vous, le mien se trouve au fond du lac... »

Il attrapa sont bocal et fit signe à la jeune fille de le suivre dans un long couloir. Il s'arrêta devant quelques portes pour écouter s'il y avait du monde.

« Houlà...Mme.Sanaka est là et il vaudrait mieux pour nous de passer chemin. »

Aussitôt dit aussitôt fait. Environ 3 autres portent furent inspecter discrètement avant d'en trouver un libre. Il ouvrit la porte et demanda à la jeune fille de s'avancer.

« Aprés-vous et désolé pour ce contre temps, il faudrait que j'en parle au directeur... »

[ euh ... je suis désolée ... mais ... comment on supprime ? ]

Arvalis était contente, l'étrange professeur semblait se souvenir d'elle. Quand il s' accroupis près d'elle elle retint son souffle. Ne désirant pas lui faire sentir l'odeur de son dernier repas, en l'occurrence un patté informe composé de plantes régénératrices et de viande de cerf. Rien qui ne vaille la peine de le faire sentir, bien au contraire...
Il enchaina tous de suite sur sa famille, elle lui était inconnue. Un entretien ? Oui, elle avait vaguement entendus parler de sa. Très vaguement. Un sentiment de panique monta en elle, que devait t' elle dire ? Comment devait t' elle se comporter ? Et une foule d'autres questions sans réponses tournoyaient lentement dans sa tête. L' homme semblait si confiant, d'un certain coté cela la rassura. Aussi dé stressa un peu. Elle devrait lui demander de garder son arme. Mais, plus tard. Elle ne savait pas trop si s'était judicieux pour l'instant. Le monsieur parla d'un bureau sous un lac, son bureau appartement. Mais Arvalis n'avait pas fusionnée avec un poisson, ils ne pouvaient donc pas y accéder. Logique, lui aurait dit son père. Elle se leva lentement, son dessin fini. Elle le fit tomber a terre, jetant aussi son crayon qui se fracasse en plusieurs morceaux. Laissant la ses affaires en plant, suivant le monsieur a travers un vaste couloir elle le regarda écouter aux portes. Il parla d'une autre professeur, ou d'une quelconque personne. Arvalis ne savait pas trop. Une certaine Sanaki, il continua son chemin. L'air interdit. Qui que soit cette personne elle devait vraiment faire peur pensa t' elle. Ils passèrent devant quatre portes en tous. Le monsieur s'arrêta devant une porte avant de lui faire signe de passer. Elle entra, et voyant qu'il n'y avait n'y chaises, n'y tables. Resta en plant, attendant la réaction du professeur. Elle hésita un peu, se racla la gorge et lui répondis :

je suis désolée pour ce retard monsieur, je ne voulait pas vous importuner

[Et bien pour supprimer ton post, tu fais supprimer sur le côté. Si jamais tu ne l’as pas d’afficher, dit le moi. Je verrai avec le big boss pour que se soit réglé.]


Bien bien bien, ce vieux débarra devrais faire l’affaire, se disait Mr.Agapios. il déplaça quelques bureau usée, rayer et plein de chewing-gum pour trouver deux chaises à peut prêt convenable. Les mettant ainsi l’une en face de l’autre.

« Ne vous inquiétez pas jeune demoiselle. Votre retard ne change en rien votre demande d’inscription. Maintenant que vous êtes là. On va s’asseoir et discuter un peu. La seule chose est que je ne me rappelle pas très bien ce dont je dois absolument voir avec vous…C’est ennuyeux… »

L’enseignant posa alors Maurice sur la chaise et se mis en tailleur à terre, puis fit signe à l’élève de s’asseoir à son tour, mais sur la chaise bien sur, sauf si celle-ci préférait être dans la poussière…

Le coude sur une jambe, il se grattait le menton avant de lever un doigt en l’air. Tout sourire, il sorti de sa poche un petit bout de papier sale.

« Je savais que sa me serait utile…Alors…Que m’avais dit le directeur…Prendre des notes….Hum… »

D’un geste de la main, une petit partie de l’eau du bocal se transforma en plume et en feuille.

« Ensuite…nom, prénom de l’élève. »

Un regard sur le côté suffire pour que la plume s’agite et écrive.

« Bien…age, race, raison d’intégrer l’école, une ancienne école ? sa réputation, pouvoir et capacités de l’élève…hum…tu…tu…tuteur légal ? »

A force de lire, il plissait les yeux et se rapprochait de plus en plus du petit bout de papier.

« Rha bon sang…je sais pas qui écrit aussi mal mais franchement va falloir revoir ! Les écritures de mouches c’est illisible… »

Son regard se portât sur la plume qui se secouait en signe de négation.

« Bon, bha pour le reste on improvisera. Sinon, euh…si tu pouvais répondre aux premières questions sa m’arrangerait. »

Il se frotta nerveusement la tête en cet instant et espérait que la jeune fille serait coopérative…

Arvalis s' asseilla a même le sol, près de cet étrange monsieur. Du coup, elle était aux niveau de ses yeux, ses magnifique yeux ambres. Elle le vit faire apparaître une plume et un stylo et se parla a lui même. Arvalis ne savait comment réagir a ça. Aussi quand il lui appris que les questions étaient pour elle - au final elle n'en avait pas beaucoup douté – elle ne sût comment réagir. Age, race, raison d'intégrer l'école, ancienne école, puis la réputation, le pouvoir et pour finir les capacités. Arvalis souffla intérieurement et se lança :

J'ai 16 ans, même si je parais plus jeune ! S'empressa t' elle d'ajouter.
Je suis une elfe primitive; la première race d'elfe. Notre pouvoir consiste a prendre des apparences de la faune et de la flore, je suis l'ours et le chêne. Ma mère le renard/ boulot et mon père était le cheval/ érable

Courte pause, puis reprise :
Je suis ici pour finir ma formation, celle de princesse de mon royaume. Avant jamais un profiteur particulier

La réputation? dit t' elle d'un air dégagé
Et bien, je suis princesse, donc j'imagine que sa va de ce coté la.


[oui je ne peut pas les enlever ]

Le jeune professeur notait…enfin sa plume d’eau le faisais pour lui. Se mordant la langue sur le côté, il surveillait bien que tout y était. Quand il se demanda une chose.

« Heu…une princesse ours qui se transforme en boulot ? Attend un peu, tu peux me expliquer…Enfin, en me montrant. Non parce que j’ai du mal parfois tu fois. Alors, les images ou le visuel sa me parle plus ! »

Il l’observait alors avec des grands yeux de merlan fris. Jusqu’à ce que Maurice sorte de son bocal et lui donne un bon coup de nageoire sur la joie gauche.

« Aie ! Mais euh…A oui ! J’aimerai savoir aussi, enfin quand tu m’auras bien tout montrer si tu as une préférence pour les dortoirs. Car oui, tu partageras ta chambre avec quelqu’un. As et si jamais il t’arrivait quelque chose…enfin euh…je pense pas hein… »

C’est alors qu’il murmura dans une langue inconnu, à son poisson « enfin…vu les espèces que nous avons ici…un accident est si vite arrivé…hum ! ». L'élève ne pouvait entendre que des bruits de bulles éclatées.

« Il me faudrait une personne à prévenir pour savoir quoi faire et vers qui me tourner voilà. On t’observe, vas-y ! »

La jeune élève pouvait alors voir deux paires de yeux se poser sur elle. Ceux du jeune prof’ et ceux du poisson rouge.

Arvalis regarda avec stupeur ce professeur et cracha :
«  je suis le chêne, ne m'insulter pas ! »
Son ton avait été plus q' agressif, elle s'inclina et enchaina :

« je suis désolée, je me suis emportée … »

Elle commença a réfléchir a ses paroles. Il lui demandait ouvertement de ce transformer et ensuite il voulait savoir quel dortoir elle voulait. Puis il fessait de drôles de bruits avec sa bouche. Oui, il y avait matière a réfléchir. Elle décida d'accéder a sa deuxième demande en premier.

« Euh … je ne sait pas trop … »
elle réfléchis a toute vitesse a ce que sa mère aurait répondue, puis ajouta, indécise :

« Mettez moi ou vous aurez de la place. Quelqu'un qui n'aurait pas peur de moi si possible … je ne voudrait pas faire peur aux autres. Mais cela dépend de vous, alors … »

elle garda le silence un moment, le temps qu'il écrive, ou du moins sa plume magique. Par quel miracle écrivait t' elle toute seule ?Il lui faudrait résoudre ce mystère. Elle se souvint alors de la première requête du monsieur poisson. Elle commença par décrocher son manteau blanc. Il tomba a terre dans avec un bruit sourd. Cela fait, un sac en bandoulière accrocher dans son dos était visible. En regardant bien, on comprenait que se n'était pas un sac normal. En fait il s' agissait d'un fourreau. Un immense fourreau qui devait contenir une arme tous aussi grande. Elle l'enleva sans problème et le mit dans les bras du prof. Elle recula d'un pas pour observer la scène. Le sac était tellement lourd que le professeur semblait jamais ne pouvoir se déplacer avec, il affichait une grimace, comme si il souffrait de quelque chose...

« Voici mon arme, je crois que nous avons pas le droit de les avoir en cours. Pouvez vous la garder un instant le temps que je me transforme ? Elle n'aime pas le moi ours. Sil vous plais garder la bien au chaud, elle va surement essayer de se transformer en même temps que moi, ce qui n'est pas super ... si vous voyez ce que je veut dire  »

Arvalis fit une grimace éloquente et recula d'un pas. Au moment ou son corps était secoué de convulsions, le fourreau trembla elle aussi. Elle se transforma en ourse, espérant que le sac ne suive pas son exemple.

Le professeur observa avant de se mettre à parler à voix basse. La plume s’agitât pour écrire les paroles d’Agapios. Le professeur prit l’arme en prenant la parole :

« Les armes ne sont aucunement autorisé dans notre établissement, nous ne somme pas sur un champ de guerre. Je vais devoir la mettre en lieu sûr. Et tu ne m’as toujours pas répondu concernant les personnes à prévenir en cas de problème. Je commence à m’impatienter. »

Agapios se permit de reprendre la parole pour faire avancer l’entretien :

« As-tu des passe-temps ? Pour intégrer l’école, il est demandé d’intégrer l’un des clubs de l’école. Quoi que tu aime, tu devrais pouvoir trouver ton bonheur. »

[Toutes nos excuses pour ce temps de réponse.]

[ pas de problème. Voila c'est changer. ]

Les secousses sur le corps d' Arvalis s’arrêtèrent. Elle se retourna pour cacher son visage aux yeux de cet étrange professeur tellement le méprit qu'elle avait pour lui avait atteint son paroxysme. Il n'était pas diffèrent, il était juste étrange. Ils étaient tous pareils, tous toujours pareils. Elle se retourna, le toisant du haut de ses un mètre dix.

" Les personnes a prévenir en cas d'urgence ? tenez voici quelque chose qui vous intéressera. De plus si je vous ait confier cette arme, c'est justement pour ne pas a avoir a l'utiliser. Vous n'écouter décidément rien ! "
elle tendis un petit papier a l'homme poisson, tous en évitant de croiser son regard...

Elle avança vers la porte, tendis la main vers la poignée, la tourna et fit un pas au dehors. Puis, elle tourna la tête au dernier moment :
" le club art me conviendrait ... "

Elle se raseilla, visiblement lasse de cet entretien
" il reste beaucoup de chose dont nous devons débattre monsieur le professeur ? "

La bouche grande ouverte, le professeur sembla soudainement outré par la réaction de la jeune elfe primitive. Outré et blessé surtout. Même s'il tempéra quelque peu ses paroles. Enfin, vraiment quelque peu...

« Je vous trouve bien pressée et bien impolie mademoiselle ! Vous montrer aussi désobligeante envers le tout jeune professeur inexpérimenté que je suis en le traitant de vieux gâteux... Je suis bien trop jeune pour être gâteux ! Je ne suis que très soucieux de bien faire comprendre aux élèves de la meilleure manière qui soit pourquoi telle ou telle chose leur sont demandées ! »

Il se leva alors brutalement en tapant de la main sur le bureau ce qui provoqua un tourbillon dans le bocal du pauvre poisson aux écailles rouges qui fut aspiré et se mit à tournoyer sur lui-même sans plus pouvoir nager.

« Oh mille pardons Maurice ! Je ne voulais pas te mettre la tête en l'air et le coeur à l'envers, pardonne-moi ! »

Culpabilisant et navré, Agapios se jeta à genoux devant le bureau pour saisir le précieux bocal en murmurant quelques excuses à son compagnon à écailles. Puis, se redressa comme en se raclant la gorge pour faire comme si de rien n'était avant de se rasseoir et poursuivre avec beaucoup de vivacité.

« Ahem ! Oui, en effet ! Il nous reste encore quelques sujets à traiter avant que vous ne soyez admises ! Puisque c'est noté ici regardez. »

Il mit le formulaire d'inscription quelques secondes à peine sous le nez de la postulante et le reprit aussi vite sans qu'elle n'ait finalement rien pu lire.

« Pas grande chose comme tu as pu le voir ! Donc, il faudrait que tu me décrives un peu mieux ton pouvoir, enfin, en m'en parlant et me donnant ses spécificités ! Oui c'est un détail ! Un détail ! Mais je crois que mieux les formulaires sont remplis et plus le directeur nous laisse en paix ! Oh ! Et j'ai besoin de savoir aussi si tu as côtoyé beaucoup d'êtres humains dans ta vie ou non et dans quelles circonstances précises. Enfin, si ce n'est pas trop impersonnel, bien sûr ! Pas besoin de faire trop dans le détail ! »

Dit-il d'un air ravi qu'il pensait rassurant bien que ça ne soit pas vraiment le cas avec ce sourire un peu trop grand et presque effrayant qui s'étirait sur son visage si fin.

Arvalis en avait marre, vraiment marre. Elle se raseilla juste après qu'il lui tende un bout de papier illisible sous le nez. Elle ne put s' en pécher de soupirer, un soupir qui heureusement, échappa a l'homme poisson. Il parlait, il parlait, mais quand es ce qu' il allait sarretter celui la ? Il lui demanda des spécificité sur son pouvoir

" et bien, je me transforme en ourse, en arbre et quand je serrais grande en rocher. Sa fait mal alors j’essaye d'éviter de trop l'utiliser "
elle enleva un pendentif de son cou

" voila le truc qui me le permet, tenez. Je croit que c'est la première fois que vous en voyez
un. Chez moi on appelle sa un collier de Volonté "
Le collier était composer d'un fin cordon de cuir noir et d'une pierre précieuse inconnue de couleurs marron chocolat

" alors sa..."
dit t' elle en éfleurant la pierre

" c'est l'animal que je suis, il est marron, comme mon pelage. Et comme mon écorce. "

elle le tendis au professeur, qui commença a l'examiner, il serrait l'une des seules personnes a pouvoir en voir un de près.

" il réagit avec sa "
elle tendit un doigt vers son arme, toujours un air blasé collé sur le visage

" le collier réagit selon mes humeurs et l'arme les interprètes.tous ceux de mon espèce en ont un. Il est transmit de grand père a petit fils, quand l'un n'est plus capable d'assurer les fonctions de l'autre "

elle réfléchit un moment tous en ce tapotant le menton du doigt
" non, je n'ait jamais connus d'humains... du moins je ne m'en souvient pas "

Le professeur regarda avec curiosité le collier, puis l'épée, puis le collier, puis l'épée. Avant de déclarer en insistant bien sur la dernière syllabe :

« Oh je voiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. C'est pratique ! Mais ça le sera moins pendant un temps... vu que nous allons garder l'arme... »

Il se pencha alors rapidement vers le bocal et murmura quelque chose à l'adresse de son poisson avant de faire mine d'attendre une réponse de sa part. Mais seules quelques bulles s'échappèrent de la bouche du poisson sous le regard d'Agapios qui sembla malgré tout ravi. A croire qu'il parlait vraiment poisson... Il se retourna alors vers l'élève qui le serait une fois qu'elle aurait répondu à cette dernière question.

« Et, personnellement, vous en tant qu'individu, vous attendez quelque chose de particulier de cette école ? »

Après un large sourire offert à la jeune elfe, le professeur se mit à se contorsionner en tous sens derrière son bureau, comme cherchant quelque chose. Avant de se redresser brusquement pour dire en guise d'excuse :

« Oh prenez votre temps pour répondre ! Moi j'en profite pour préparer vos papiers et la clef de votre chambre comme ça ! »

Il se murmura alors à lui-même : « Si je les retrouve... hem hem... »

" attendre quelque chose de cet endroit ... "
Arvalis réfléchit longuement, non. Non elle n'attendait rien de cet endroit. En fait la seule raison de sa présence en ces lieux était qu' on ne dit pas non a la reine. Mais si elle était sa fille, Arvalis n'avait pas le droit de dire non a sa mère. Elle aurait bien aimée, mais elle n'en avait pas le droit. Elle ouvrit la bouche avant de ce rappeler ce qu'on attendait d'elle. Elle la referma donc, la rée ouvrit et la re-referma. Elle choisit avec soins ces mots et expliqua :

" moi personnellement rien mais bon pour ma mère c'est ... comment dire ... une étape obligatoire. Je doit profiter de mon séjours ici pour en apprendre un maximum sur toutes les espèces vivantes qui ne sont pas humaines... comme sa, quand je serrais la reine je pourrais traiter au mieux nos accords commercial "

Arvalis rigola un peu, essayant d'évacuer son stress, en vain
" enfin ... c'est bien compliquer ... et pas toujours faciles. Mère est toujours trop stressée, elle finira par avoir un arrêt cardiaque "

Arvalis avait conscience d'en avoir trop dit, elle mit ses deux mains sur sa bouche, l'air interdit.
" je ... je suis confuse ... veuillez m’excuser ! "

Mettant le nez dans les tiroirs un à un et remuant ses feuilles en les faisant valdinguer de ci de là, le professeur parvint tout de même miraculeusement à ne pas perdre le fil de la conversation et réussit à répondre :

« Oh, c'est dommage que vous n'ayez pas de raison personnelle d'être ici. Mais vous trouverez peut-être avec le temps ! Et ne vous excusez pas, on a tous des histoires de famille un peu euh... compliquées chacun à sa façon. Ah ! Les voilà ! »

Fièrement, il brandit une clef sur laquelle était inscrit un chiffre romain et la tendit à la maintenant élève en déclarant :

« Mademoiselle Arvalis, je vous déclare officiellement élève de la Monster School Madness ! Félicitatiooooooooooooooooons ! »

Un petit jet d'eau jaillit de ses mains pour tomber en une fine pluie sur Rana et le poisson du professeur fit une pirouette hors de son bocal avant d'y ré-atterrir. Après quoi Agapios tamponna le formulaire d'inscription et tendit le reste de ce qui devait être remis à l'élève à l'elfe sans lui laisser le temps de dire ouf.

« Alors, ça ce sont les clefs de votre chambre dans les dortoirs, ça un plan de l'école, ça un formulaire d'inscription pour intégrer un club, n'oubliez pas que c'est obligatoire, et ça euh... je ne sais pas trop tiens, il faudra que vous y jetiez un oeil. »

Nul doute que dans le tas le professeur avait du glisser quelques feuilles vierges ou qui n'avaient rien à faire dans les papiers qu'il venait de remettre mais c'est à peine s'il s'en rendit compte. Il débute on vous rappelle !
C'est tout sourire qu'il se rassit enfin en posant les coudes sur le bureau et croisant les doigts longs et fins de ses mains avant de demander :

« Vous avez des questions avant que je ne vous laisse aller visiter l'école ? »

Arvalis regarda le professeur, il semblait un peu paumé mais bon, elle aussi devait en avoir l'air. Elle saisit les objets, c'était très lourd, nul doute qu'il y avait la pleins de papier super important a remplir. Elle grogna sous le poids et tituba jusqu’à la porte

" merci beaucoup monsieur le professeur "

Elle loucha un instant sur la clé qui ce trouvait tous en haut du tas

" euh ... excusez moi mais ... qui a t' il marqué sur la clé ? "
Elle ne savait pas lire les chiffre romains, ce qui était a prévoir vus qu'elle ne connaissait des humains que leurs langage français.

Tout occupé à murmurer des mots rassurants à son poisson en lui promettant de le ramener au lac très bientôt, Agapios eut bien du mal à répondre du tac au tac et regarda d'abord la clef d'un air un peu perplexe avant de réussir à donner une réponse satisfaisante à l'élève :

« Oh ça ! C'est le numéro de votre chambre ! Le même figurera en gros sur la porte de votre chambre ! Si vous ne savez pas ce qu'il représente ce n'est pas grave ! Fiez-vous aux formes et il suffira de retrouver les mêmes sur une porte dans les dortoirs et tadaaaaaaaaaaa, vous serez dans votre nouveau chez vous ! »

Il frappa des mains d'un air ravi de pouvoir répondre à la question qui lui était posée et ajouta après s'être un peu calmé :

« Autre chose ? »

Arvalis souris

" non, merci monsieur ... ah ! tenez j'ai faillis oublier ! "
elle posa les papier sur une chaise et farfouilla dans sa poche. Elle en retira un petit papier tous froissé. Il représentait le professeur, assis sur le dos d'un dragon de mer. Son bocal a la main...
Elle le tendit a l'homme poisson :

" tenez ... de toute façon, je ne peut pas le garder, sinon tous le monde dirait que j'ai déjà fait une fixation sur vous "

Curieux, Agapios saisit délicatement la feuille de papier pour la défroisser un peu avant de jeter un oeil dessus.

« Oh ? »

Il resta alors assez admiratif devant le coup de crayon et le portrait que l'élève avait fait de lui. Il se demanda d'ailleurs bien quand elle avait eu le temps de faire ça durant leur entretien. Mais il aimait beaucoup et était vraiment touché pr la petite attention ! Il espérait cependant que, comme le disait la jeune elfe, il n'y avait pas de béguin derrière ce petit présent anodin ! Noooon, pas de raison ! Et puis, sinon, ça risquait de ne pas être vraiment au goût de leur cher vieux dé... euh, directeur ! Pliant rapidement le papier il le glissa dans le revers de sa chemise pâle rapidement en s'exclamant tout guilleret :

« Ca me fait bien plaisir merci beaucoup ! Je le conserverai avec soin ! Sous une cloche, à l'abris de l'eau, et de l'humidité et... Maurice ne te moque pas !»

Le professeur était reparti dans de grandes explications avec son poisson rouge à coups d'index levé et il n'y aurait plus grand chose à en tirer avant un bon moment. Mieux valait pour la nouvelle s'éclipser à présent et partir à la découverte de son nouvel environnement.

Arvalis laissa apparaitre un vague sourire sur son visage blasé. Reprit ses affaires, jeta un dernier coup d' œil a son glaive et son éventail. Fera les yeux et soupira, puis elle ouvrit la porte d'un petit coup d'épaule et sortit vers un nouveau monde ...